The OA (Saison 1)
Brit Marling et Zal Batmanglij
#TheOA 1.01 - Je ne suis pas sûr de ce que j'ai regardé. Le générique est lancé à la 58ème minute, le récit est plus que trouble... C'est mystérieux, joli, perché et étrangement prenant. Ça va demander confirmation mais je suis intrigué. 8/10
#TheOA 1.02 - Cet épisode est un peu une montagne russe. Des moments qui manquent de force (surtout dans la première partie) d'un côté, de l'autre des montées de poésie et de beauté assez folles. Si le récit de son passé a semblé un peu long dans un premier temps, il m'a finalement manqué en cours de route et quand on relance la machine on assiste à des passages intéressants. 7/10
#TheOA 1.03 - La tournure plus sombre du récit ainsi que la grande présence et tension des flashbacks rendent l'épisode hyper prenant. L'heure défile et on n'en perd pas une miette. Fascinant. 8/10
#TheOA 1.04 - La première partie peine à transporter, les scènes du présent n'ont pas un grand intérêt. Il faut attendre une plus grande présence des flashbacks pour que ça redevienne fascinant, entre la tension et le mystère on est pleinement impliqué. 7/10
#TheOA 1.05 - Très bien. Et quelle fin ! On a une montée en puissance au fil de cet épisode riche en flashbacks. Homer est mis en avant ici, et alors qu'on prenait un chemin pas forcément emballant au sein des captifs, l'épisode nous amène vers un des plus grands twists de la saison. Une danse remplir d'émotion magnifique. 8/10
#TheOA 1.06 - Après des épisodes de plus d'une heure, on passe à un épisode de 30 minutes, l'épisode dans le fond ne change pas, mais au final on a le sentiment d'un épisode de transition, pas bâclé mais qui n'avait pas grand chose à dire. On attend que l'arc final soit lancé, pour voir la fuite de OA, et le cinquième mouvement. 7/10
#TheOA 1.07 - « People are gay, Steven » Aucun flashbacks, on se concentre sur OA et le groupe. Les scènes du présent ont souvent eu du mal à soutenir la comparaison avec le reste, c'était trop saccadé ou on creusait pas assez les personnages. En prenant le temps, que ce soit avec BBA, les scènes Elias/OA ou Steve, on plonge dans leurs vies avec bien plus de passion. La fin est très touchante. 8/10
#TheOA 1.08 - « My boys! » L'épisode divise. Sans trop dévoiler, je peux comprendre la frustration, mais je retiendrais aussi les belles scènes, le doute qui est habillement semé, et la place qui est faite aux théories (et elles sont nombreuses). La scène de la cafetaria a fait parler, elle est belle et intense. Comme annoncé dans le premier épisode, OA demandait à son audience de faire semblant de la croire au moins au début. Ce qu'on a fait, maintenant il faut se demander si on y croit ou non. 8/10