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The End of the F***ing World (Saison 2)

15 Novembre 2019 , Rédigé par Notes-Séries Publié dans #TEOTFW, #The End of the F***ing World, #Comédie, #Drama, #Netflix

The End of the F***ing World (Saison 2)

The End of the F***ing World
- Netflix - 2019 - 8 épisodes -
Série créée par 
Jonathan Entwistle et Charlie Covell
Basée sur le comic book de Charles Forsman

#TEOTFW 2.01 - Même si on découvre uniquement un nouveau personnage, ce qui est frustrant vu la fin de la première saison, on retrouve le ton de la série, sombre mais avec une forme de naïveté et de l'absurde. Ce nouveau personnage et sa mission amènent un enjeu pour la saison également. La tension et le charme manquait quelque peu néanmoins. 6/10

#TEOTFW 2.02 - « Getting a bullet in the post should be threatening. But it's hard to feel frightened of someone who can't spell your name right. » L'épisode est court mais riche, la voix off blasée d'Alyssa était étrangement réconfortante et le résumé de sa vie depuis James est génial, on passe un très bon moment. L'occupant·e de la voiture n'est pas une surprise, mais cela donne une seconde partie d'épisode non moins passionnante. Avec toujours ces scènes parfois burlesques. Ce vrai retour est une réussite. 8/10

#TEOTFW 2.03 - « I definitely preferred being shot. » La première partie de l'épisode est très bonne, même si j'ai revu la première saison il y a quelques jours, les dialogues et la dynamique du duo faisait tourner à fond la fibre nostalgique. La seconde partie joue plus sur des non-dits entre les deux, ça rappelle aussi la première saison mais pas forcément l'aspect que je préférais. 7/10

#TEOTFW 2.04 - Je me demandais en cours d'épisode si Bonnie n'allait pas finir pote avec le duo, la bizarrerie de leurs échanges pouvaient coller. Mais on prend une autre direction, les parallèles avec la première saison se multiplient. Je ne dirai pas qu'il y a ait une tension particulière mais il y a une ambiance qui m'a bien plu, il aurait pu durer deux fois plus longtemps que ça ne m'aurait posé aucun soucis. Rien ne met sur le cul mais les dialogues sont bien ciselés et l'univers me paraît encore plus accrocheur que dans la première saison. 7/10

#TEOTFW 2.05 - Je n'ai pas vu Jessica Barden dans une autre production, je ne sais pas ce qu'elle vaut réellement comme actrice mais dans ce rôle, elle est excellente, le faux détachement qu'elle met en permanence rend le personnage d'Alyssa depuis la première saison aussi agaçant que touchant. Les voix off comme toujours sont bien inspirées et dynamisent beaucoup les longues scènes de dialogues. Les personnages parlent enfin clairement pendant que Bonnie tente d'échapper à la crise de façon maladroite, les deux parties sont prenantes. 7/10

#TEOTFW 2.06 - « Good luck. Now fuck off. » Le retour à la maison est logiquement glacial, cela donne des scènes de solitude bien fichues. L'épisode a quelques creux en termes de rythme mais ça revient, et en force, sur la fin quand Bonnie passe à l'action. 7/10

#TEOTFW 2.07 - « The problem with a person having a lack of love is that they don't know what it looks like. So it's easy for them to get tricked, to see things that aren't there. » Bien qu'étant un épisode présentant une tension permanente et qui joue avec nos nerfs, le propos prend le pas sur la fin pour une scène déchirante. Au fond, la série parle de la solitude et elle l'exprime ici avec brio. 8/10

#TEOTFW 2.08 - « She's not... She's not my girlfriend.But she was my friend. » Final réussi, que ce soit pour un simple chapitre ou la conclusion totale. Par rapport à la première saison, on a un épisode plus calme, introspectif mais avec magnifique moment chez Clive. Quand il fond en larmes devant elle, vis à vis de sa mère, et des derniers mois qu'il a vécu, c'était déchirant. On détend un peu l'atmosphère pour finir avec la dispersion des cendres qui est un beau moment d'humour noir (même si j'ai déjà vu une scène similaire récemment). Et enfin cette scène sur le banc qui finit sur une belle note (elle m'a fait peur en disant le mot 'confrontational'). J'avais loué le travail de Jessica Barden plus tôt dans la saison, ici c'est Alex Lawther qui vole la vedette. On le sait doué, mais il livre une performante vraiment touchante. Belle série, belle saison, et pourtant je n'étais pas totalement conquis après le premier visionnage de la première saison. 8/10

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